Conclusion

 

 

 

En traitant de l’Ecologie et de l’Habitat, nous nous sommes très rapidement rendu compte que l’écologie pure n’était qu’utopie. En effet certains changements dans les modes de vie, qui permettraient d’élargir les économies, restent inacceptables dans notre société.

Nous devons également garder à l’esprit qu’écologie rime avec économies, et que la rentabilité énergétique se doit passer par la rentabilité financière.

Il faut donc dans l’élaboration d’une démarche écologique  veiller à ce que les techniques utilisées soient applicables au plus grand nombre.

Ces techniques, comme toutes grandes avancées ou révolutions, s’appuieront sur une volonté politique. Celle-ci est  primordiale dans la mise en place de toute une batterie de normes et incitations en faveur des énergies renouvelables.

 

A l’issue de notre première phase de recherche, nous avons décidé de contacter un professionnel du second œuvre technique du bâtiment qui nous a rapidement ouvert à l’importance de l’écologie passive, en effet, « la meilleure énergie est celle que l’on ne consomme pas ».

Outre les modifications comportementales des consommateurs finaux, tous les acteurs du bâtiment doivent donc  intégrer la dimension écologique. La mesure  de cette prise de conscience s’effectuera par le biais du bilan Carbone. De ce fait, ce dernier influe sur le traitement des chantiers et le choix des matériaux.

Hormis le bilan Carbone, ce professionnel nous a indiqué que la part la plus importante des économies à réaliser se trouvait dans les techniques d’isolation.

Cette dernière devra donc être suffisante sans pour autant être trop hermétique. Un contrôle mécanique permettra d’éviter de potentiels problèmes sanitaires liés à la mauvaise circulation de l’air.

Concernant les autres facteurs technologiques, nous avons appris qu’il ne fallait écarter aucune technique. La prise en compte des modes de vie des futurs habitants et de la topologie des lieux pouvant conduire à la coordination de techniques semblant à priori inadaptées.

Du fait de la pression publique, l’avenir passera nécessairement par l’économie d’énergie et la préservation des ressources naturelles.

Notre postulat initial présentait la part prépondérante de l’habitat sur le budget du ménage. Nous constatons que le travail consomme la majeure partie de notre temps.

Il nous semble que les efforts individuels tant comportementaux que budgétaires, entrepris au sein d’un foyer, devraient trouver leur prolongement sur le lieu de travail.

Il serait envisageable de compléter ce TPE en étudiant la mise en place d’une démarche écologique globale sur notre lieu de travail.